la ligne d’horizon d’une abeille ( comme pour nous celle de la mer…) est bien souvent une grande fleur…ou un champ de fleurs…et…que de dire des fourmis pour lesquelles l’horizon est probablement …notre pelouse…quant à nous…nous sommes, sans nous en rendre toujours compte…les fourmis de quelque chose d’immense qu’on devine très difficilement…
Merci cher Patrick de ce beau commentaire. Nous sommes insignifiants dans l’univers par la taille (bien que très malfaisants par moment eu égard à notre petitesse d’esprit et de corps…) mais nous sommes pourtant si importants, comme chaque goutte d’eau dans l’océan ! 🙂
Époque bénie où les abeilles envahissaient les jardins…certains en avaient peur, poussaient des cris d’effroi en les voyant…maintenant on s’extasie devant une rescapée du grand massacre de la nature.
Merci chère Alex, oui Tout est relatif. …
Lorsque j’étais enfant je n’aurais jamais imaginé que des animaux seraient « en voie de disparition » à cause des humains, et voilà que l’on se réjouit de voir une abeille quand on sort dans le jardin, en pensant : » il y en a encore un peu ! ».
beau bleu accueillant le jaune et noir.
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Couleurs complémentaires…
Merci de votre passage 🙂
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on est saoule rien qu’en regardant
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Saoule de miel et de soleil, c’est permis, recommandé même !
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la ligne d’horizon d’une abeille ( comme pour nous celle de la mer…) est bien souvent une grande fleur…ou un champ de fleurs…et…que de dire des fourmis pour lesquelles l’horizon est probablement …notre pelouse…quant à nous…nous sommes, sans nous en rendre toujours compte…les fourmis de quelque chose d’immense qu’on devine très difficilement…
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Merci cher Patrick de ce beau commentaire. Nous sommes insignifiants dans l’univers par la taille (bien que très malfaisants par moment eu égard à notre petitesse d’esprit et de corps…) mais nous sommes pourtant si importants, comme chaque goutte d’eau dans l’océan ! 🙂
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Impression de vivre la photo en synchronicité chez moi, j’aime Les échos ! Merci
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Merci à vous pour signaler cette synchronicité, c’est un mot et une idée que j’aime beaucoup !
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Époque bénie où les abeilles envahissaient les jardins…certains en avaient peur, poussaient des cris d’effroi en les voyant…maintenant on s’extasie devant une rescapée du grand massacre de la nature.
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Merci chère Alex, oui Tout est relatif. …
Lorsque j’étais enfant je n’aurais jamais imaginé que des animaux seraient « en voie de disparition » à cause des humains, et voilà que l’on se réjouit de voir une abeille quand on sort dans le jardin, en pensant : » il y en a encore un peu ! ».
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magnifique prise de vue…bonne journée
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Merci beaucoup Georges de passer par ici et bonne journée à vous aussi !
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