L’orage a toujours effrayé les hommes, à juste titre, vu les dégâts qu’il peut produire. Tant de bruit et de lumière, qui se déchaînent sur nos pauvres têtes si fragiles ! Peut-être pour nous rappeler notre insignifiance et nous remettre à notre place !
Cette belle photo rend exactement l’étrangeté du moment qui saisit le promeneur, lorsque le ciel change brusquement, noircit, devient menaçant, et s’apprête à nous tomber sur la tête !
Durant un très court instant, on a l’impression d’avoir communiqué avec les entités du ciel.
Eu égard aux dimensions qui nous dépassent bien au-delà de notre petite couche d’atmosphère terrestre, les entités du ciel nous semblent (si elles existent…) bien éloignées de nos petites préoccupations météorologiques… (voire poétiques…)
🙂
Les corps célestes mènent une ronde formidable, d’où nos petites préoccupations terrestres doivent paraître bien dérisoires (surtout dans ces périodes électorales de politique surréaliste et méprisable).
The Haiku in Zen captures something profound in something so brief, like Sumie painting – the semantic locus of meaning in such an ambiguous and brief few brush-strokes is no longer purely in the text… it becomes located in the viewer, the perceiving mind… and through this inversion of location: the central repository of self which is classically and traditionally (conventionally) located in the projected, external narrative of the world is now back within the self and this, much like the dividing of one by zero – is both catastrophic and beautiful. The self only comes to see the insubstantiality and emptiness of itself through the implied beauty and ambiguity of the wise and minimalist artist’s brush or pen…
🙂
You words translate beautifully into English as well:
Heaven without restraint
Spills and shouts his anger
In a blue flash
There is a sweet irony that I find in appreciating poetry in a language I only half understand (my apologies) and this seems to make sense in the context of Zen haiku – isn’t understanding always already obscured by our preconceptions and consensus interpretations of words or reality ?
Google translate assists me, hopefully with fidelity:
Merci pour les beaux mots que vous jetez comme des feuilles sur la brise…
🙂
À quelques années d’intervalle, reproduction du même phénomène naturel, hier 14 mars 2023 à Paris… Comme un théâtre aux décors changeant à toute vitesse (mais l’orage n’a pas joué sa musique)… 😉
Belle photo et belles lignes : il devrait grêler plus souvent ! 🙂
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Merci à vous.
J’étais dans ma voiture et le bruit des grêlons sur la carrosserie fut assez impressionnant pendant quelques secondes.
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Voilà ce qui arrive quand les hommes ne respectent pas la nature…Belle photo..Bon week-end
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Le phénomène de l’orage n’est pas nouveau, les Grecs en avaient rendu responsable Jupiter.
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L’orage a toujours effrayé les hommes, à juste titre, vu les dégâts qu’il peut produire. Tant de bruit et de lumière, qui se déchaînent sur nos pauvres têtes si fragiles ! Peut-être pour nous rappeler notre insignifiance et nous remettre à notre place !
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Merci Georges pour cette photo en retour, Malheureusement, les colères du ciel se font de plus en plus violentes…
Bon week end à vous aussi !
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Cette belle photo rend exactement l’étrangeté du moment qui saisit le promeneur, lorsque le ciel change brusquement, noircit, devient menaçant, et s’apprête à nous tomber sur la tête !
Durant un très court instant, on a l’impression d’avoir communiqué avec les entités du ciel.
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Eu égard aux dimensions qui nous dépassent bien au-delà de notre petite couche d’atmosphère terrestre, les entités du ciel nous semblent (si elles existent…) bien éloignées de nos petites préoccupations météorologiques… (voire poétiques…)
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🙂
Les corps célestes mènent une ronde formidable, d’où nos petites préoccupations terrestres doivent paraître bien dérisoires (surtout dans ces périodes électorales de politique surréaliste et méprisable).
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Grand merci chère Alex !
Les cataractes célestes s’ouvrirent brutalement et on se sent tout petit d’un seul coup 😉
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…et la terre à soif de cette eau fécondatrice…en Inde, chaque goutte d’eau contient une âme qui veut s’incarner sur terre…
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C’est une image qui m’est très sympathique. Les petits grêlons contiennent probablement ceux qui ont le plus de caractère alors 🙂
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😄!!!
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Très belle photo et très beau haïku
Le temps est toujours une source d improvisation et de réflexion
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Merci beaucoup pour votre passage ici et votre gentillesse !
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Le ciel a certes ses petites colères mais finit toujours par s’émouvoir en petites mouettes argentées brillantes sous le soleil…
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Comme c’est joli !
Merci de cette belle image en forme d’aile de mouette, si délicatement déposée sur cette page 🙂
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The Haiku in Zen captures something profound in something so brief, like Sumie painting – the semantic locus of meaning in such an ambiguous and brief few brush-strokes is no longer purely in the text… it becomes located in the viewer, the perceiving mind… and through this inversion of location: the central repository of self which is classically and traditionally (conventionally) located in the projected, external narrative of the world is now back within the self and this, much like the dividing of one by zero – is both catastrophic and beautiful. The self only comes to see the insubstantiality and emptiness of itself through the implied beauty and ambiguity of the wise and minimalist artist’s brush or pen…
🙂
You words translate beautifully into English as well:
Heaven without restraint
Spills and shouts his anger
In a blue flash
There is a sweet irony that I find in appreciating poetry in a language I only half understand (my apologies) and this seems to make sense in the context of Zen haiku – isn’t understanding always already obscured by our preconceptions and consensus interpretations of words or reality ?
Google translate assists me, hopefully with fidelity:
Merci pour les beaux mots que vous jetez comme des feuilles sur la brise…
🙂
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Thank you for the translation and your kind words, and for your first visite here !
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À quelques années d’intervalle, reproduction du même phénomène naturel, hier 14 mars 2023 à Paris… Comme un théâtre aux décors changeant à toute vitesse (mais l’orage n’a pas joué sa musique)… 😉
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À Lyon aussi les orages nocturnes ont fait rage, on se croirait en août…
Et que penser de ce que cela sera en août ?
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Un « dérèglement » dans tous les sens… 🙂
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Qui nous fera perdre le sens de notre vie rapidement
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Effets et mots magiques ⭐
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Merci beaucoup pour votre visite !
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