Je t’aime, petite pâquerette, la première et la dernière des fleurs à égayer le gazon, de ses pétales blanches, parfois innombrable, j’aime te voir te refermer lorsque le temps menace ou que la nuit approche, puis t’ouvrir entièrement au beau soleil.
Et qu’il est voluptueux de marcher pieds nus dans un gazon rempli de pâquerettes !
Voir qu’elles étaient déjà là, m’a remplie de joie, bêtement !
Elles sont bien en avance et c’est sans doute inquiétant, mais elles me redonnent cette énergie qui commençait à manquer, au cœur de l’hiver…
Les fleurs lentement mais sûrement sortent de terre malgré des températures en dent de scie…attention l’hiver n’a pas dit son dernier mot
Bonne semaine
Bises
Effeuiller une pâquerette me semblait d’une violence extrême quand j’étais enfant. Arracher les pétales d’une fleur ou les ailes d’un papillon avec le support d’une comptine me paraissait être un jeu totalement surréaliste. Je ne suis pas sûre que la fleur soit vraiment demandeuse…
Ainsi, je ne cueille jamais une fleur dans la nature, mais n’étant pas à une contradiction près comme de nombreuses femmes, j’adore quand on m’en offre. C’est un des plaisirs qui me font fondre ! (avec les chocolats…)
Merci beaucoup pour cette Foi en mes mots 🙂
Cela me réchauffe le cœur, et par les temps qui courent … sous la glace !
(sourire)² pour votre passage et ces mots déposés ici.
Je t’aime, petite pâquerette, la première et la dernière des fleurs à égayer le gazon, de ses pétales blanches, parfois innombrable, j’aime te voir te refermer lorsque le temps menace ou que la nuit approche, puis t’ouvrir entièrement au beau soleil.
Et qu’il est voluptueux de marcher pieds nus dans un gazon rempli de pâquerettes !
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Voir qu’elles étaient déjà là, m’a remplie de joie, bêtement !
Elles sont bien en avance et c’est sans doute inquiétant, mais elles me redonnent cette énergie qui commençait à manquer, au cœur de l’hiver…
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Sans oublier les p’tites fleurs bleues qui parsèment les champs !!!
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Oui , je ne les oublie pas et en trouverait pour les partager aussi avec plaisir, si elles vous plaisent !
Merci d’être passé par là 🙂
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Les fleurs lentement mais sûrement sortent de terre malgré des températures en dent de scie…attention l’hiver n’a pas dit son dernier mot
Bonne semaine
Bises
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Grand merci pour votre passage ici 🙂 et cette belle photo d’hiver…
L’hiver revient chaque matin plus mordant encore, méfions-nous !
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Effeuiller ou effleurer : sans doute le deuxième verbe est-il plus proche de la fleur qui pourtant ne demande qu’à se laisser faire.
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Effeuiller une pâquerette me semblait d’une violence extrême quand j’étais enfant. Arracher les pétales d’une fleur ou les ailes d’un papillon avec le support d’une comptine me paraissait être un jeu totalement surréaliste. Je ne suis pas sûre que la fleur soit vraiment demandeuse…
Ainsi, je ne cueille jamais une fleur dans la nature, mais n’étant pas à une contradiction près comme de nombreuses femmes, j’adore quand on m’en offre. C’est un des plaisirs qui me font fondre ! (avec les chocolats…)
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Je crois en ce poème.
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Merci beaucoup pour cette Foi en mes mots 🙂
Cela me réchauffe le cœur, et par les temps qui courent … sous la glace !
(sourire)² pour votre passage et ces mots déposés ici.
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si elle ne le fait pas, elle l’annonce ! Une très bonne journée à vous, Marie-Christine !
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Merci Gilles et belle journée à vous aussi !
Merci !!
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