Juste au bord
De la nuit
Sans remords
Et sans bruit
Ton âme s’endort
*
Juste au bord
De la vie
De minuit à l’aurore
L’espoir revit
*
À tire d’ailes
Ton âme s’envole
Vers l’irréel
*
Elle est si belle
Cette luciole
Qui étincelle
*
Juste au bord
De la nuit
Sans effort
Tu t’enfuis
*
Juste au bord
De la nuit
Sans remords
Et sans bruit
Ton âme s’envole
*
On tire des bords dans la nuit et à la mer : les vagues sont des rêves…
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Rêves de mers ou rêves de terres, chacun choisira les siens.
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J’aime bien la légèreté des vers …
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Oh merci beaucoup ! je viens seulement de voir votre commentaire, excusez-moi pour le retard dans la réponse !
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Je préfère les photos de Marie-Christine, plus naturelles et moins sophistiquées, elles me font davantage rêver.
Merci pour le poème, oui, quand le soir arrive, l’âme palpite et redevient libre de naviguer parmi les songes.
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Merci beaucoup pour aimer mes photos !
Celle-ci m’évoquait la liberté que nous retrouvons une fois endormis, ce que vous avez bien senti aussi…
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texte avec un bel effet « tournoyant »…cela fait du bien de ressentir des ailes autour de soi…
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Merci beaucoup Patrick, cet avis « professionnel » me fait très plaisir, les mouettes vos amies m’ont soufflé ces mots 🙂
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Léger, doux, au bord du vertige.
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Merci beaucoup pour aimer ces mots qui virevoltaient dans ma tête à tire d’ailes 🙂
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