« Autour de nous, partout à perte de vue, l’espace infini, l’horizon bleu de la mer, l’horizon vert de la terre, les nuages, l’air, la liberté, les oiseaux envolés à toutes ailes, les vaisseaux à toutes voiles ; et puis, tout à coup, là, dans une crête de vieux mur, au-dessus de nos têtes, à travers une fenêtre grillée, la pâle figure d’un prisonnier. Jamais je n’ai senti plus vivement qu’ici les cruelles antithèses que l’homme fait avec la nature. »
Lettre à Louise Bertin, le 27 juin 1836
Victor Hugo
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Photo m ch grimard
Se sentir si petite face à l’infini de l’océan
Essayer de fixer cette image de la mer dans sa mémoire pour survivre un hiver tout entier dans les terres
Admirer la palette infinie de couleurs que nous offre le monde en se contentant d’une toute petite partie de son immensité
Rester là jusqu’à la nuit pour être bien sûre de rêver encore d’océan en rentrant
Réaliser que pouvoir prendre cette photo est un cadeau du ciel et avoir envie de l’offrir au reste du monde
Tenter de le faire ici en ajoutant en bonus, le chant de l’océan :
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