« L’océan sonore
Palpite sous l’oeil
De la lune en deuil
Et palpite encore. »
Verlaine
—
Peu importe si la nuit tombe
Et que le vent m’emporte
Dans le tonnerre des vagues
J’attendrai immobile
Que le ressac arrive
Jusqu’à ce que j’entende
Palpiter le cœur des baleines
Et chanter les sirènes.
—