« Les gitans, les chats errants et les roses trémières savent quelque chose sur l’éternel que nous ne savons plus. »
L’homme-joie (2012) de Christian Bobin
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Côte Atlantique :
Terre de roses trémières.
Elles s’y trouvent bien, faut-il croire.
Elles aiment la difficulté.
Il leur faut seulement quelques pincées de terre mêlée de sable, avec suffisamment de lumière, de sel et de vent pour avoir envie de grandir, et suffisamment d’aridité pour être libre et pousser sans concurrence.
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Elles aiment être libres.
Libres de coloniser les bordures des étiers
Libres de s’abriter au cœur des marais
Là où rien d’autre ne pousse
Que les salicornes que le sel ne rebute pas
Là où le soleil est omniprésent
Jouant avec ses reflets sur les œillets salins
Là où les grues sont les seules à pouvoir les admirer, le matin, au lever du soleil, quand elles déploient leurs couleurs irisées sous les ailes du vent.
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leur beauté est le secret que se gardent les gens de l’ouest,
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Il fait bien que la diversité ne soit pas uniquement un concept de technocrates. Ainsi d’une région à l’autre, l’émerveillement est intact 🙂
Heureusement leurs cousines Roses 🌹 aiment le soleil d’Avignon.
Merci Brigitte et belle journée méridionale à vous.
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Quel bel hommage aux roses trémières qui agrémentent aussi les petites rues des îles charentaises 👌
Je te souhaite un très bon dimanche Marie-Christine ⛱🌞🌹
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Merci beaucoup Christian !
Oui l’île de Ré entre autres en est spécialiste 🙂
Bon dimanche à toi aussi Christian
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Qu’elles sont belles les rose trémières ❤
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Oui, leurs teintes varient d’une année à l’autre, certaines sont devenues lié de vin et d’autres rose pâle alors qu’elle étaient toutes pourpres au départ dans mon jardin !
Merci à vous de les aimer.
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Oh oui, je me souviens que j’avais eu ce même phénomène avec mes hortensias c’était très joli d’une année à l’autre. Je crois que c’est grâce au abeilles qui butinent dune fleurs à l’autre…
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Les miennes aussi font cela. Les abeilles 🐝 sont de parfaites généticiennes naturelles !
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J’aime beaucoup ces fleurs qui poussent dans des terres difficiles. Récemment lors d’une promenade sur la petite ceinture du 15ème, laissée sauvage, j’en ai vu beaucoup
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Ah oui, elles ont émigré dans les terres parisiennes ?
Merci à vous pour la visite de ce jardin plus à l’ouest 🙂
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on n’est pas des sauvages à Paris …. quoi que certain(e) peut-être 😀
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Je ne pense pas que vous soyez des sauvages ! Loin de où cette idée (quoi que… 😀 )
Enfin !
Je pensais qu’il leur fallait l’air de l’Ouest pour pousser.
Il est vrai que Paris est plein de mouettes aussi …
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je me méfierais plutôt des pigeons qui n’hésitent pas à filer sans regarder si un piéton peut les gêner 😉 cela ressemble bien souvent à des attaques.
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Elles aiment aussi le sable, ces belles roses très mer… 🙂
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🙂
Oui elles sont très méritantes pour cela !
Merci à vous pour ce commentaire.
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Elles sont très belles ces roses trémières, j’ai une préférence pour la deuxième photo. Bon dimanche à vous
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Merci georges, vous avez raison la seconde rose est sauvage, poussant seule au coin d’un marais, elle est plus vaillante que les deux autres, poussant dans mon jardin et donc plus pâlottes.
Bon dimanche à vous aussi !
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Qu’il est beau votre coin de villégiature, merci de nous le faire connaître ;o)
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Je suis contente que mes partages sans prétention vous plaisent, c’est un petit coin où je me sens bien et qu’il est doux de faire connaître aux amis 😉
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