Au détour du chemin
La lumière sort du bois
En écharpe de soie brune
Au détour du jour
Les arbres frissonnent
Nus sous leurs branches
Au détour des discours
Les illusions foisonnent
Et les colères résonnent
Au détours des matins brumeux
La lumière hésite et tâtonne
quelques nuages semblent déguiser une colère noire… le paysage et sa peinture littéraire nous réservent des surprises… 🙂
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Merci à vous, les plus pauvres seront un peu moins pauvres, tous les autres devront travailler plus pour payer plus.
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me feriez aimer les matins brumeux (en fait si suis bien couverte, je les aime pour leur façon de métamorphoser le quotidien)
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J’en suis contente ! Vous êtes une poétesse qui s’ignore chère Brigitte 🙂
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Ce matin, la brume estompe la réalité. Quand sera-t-il lorsqu’elle se lèvera ?
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La brume ne fait que masquer poétiquement la réalité, mais quand le soleil revient, la vérité sort du puits toute nue 🙂
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On est bien d’accord…
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La justice est injuste, et aveugle, sa statue est toujours représentée les yeux bandés, sa balance à la main, mais un plateau baisse tandis que l’autre s’élève.
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Sur quel plateau faut-il être alors ?
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