« L’heure de la fin des découvertes ne sonne jamais. » Colette
…
Un petit air trompeur
Où ce coquin d’hiver
Se déguise en printemps
Pour tromper les naïfs
Qui le croient moribond
Se réveillera demain
Pour brûler les bourgeons
Qui se sont entre-ouverts
Aux premiers jours plus longs
…
Quelle est cette lueur ?
Un semblant de printemps
Ou n’est-ce encore qu’un leurre ?
Un dernier déguisement
Avant que sonne l’heure
D’arrivée du printemps
…
Si leurre est arrivée, acceptons-en l’augure ! Le printemps ne saurait se laisser arrêter par quelques giboulées qui rient elles-mêmes de leurs contradictions tempérées.
Les couleurs du texte et de la photo montrent cette lutte sourde et légère à la fois. Vivaldi se tient en embuscade et Colette regarde, depuis sa fenêtre donnant sur une jolie place parisienne, les jeux de la météo et du hasard. 🙂
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Merci à vous d’avoir apprécié les couleurs du texte et de la photo !
J’aurais beaucoup aimé voir le regard que Colette portait sur les saisons au Palais Royal.
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c’est le printemps vrai, j’éternue 🙂
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À vos souhaits chère Brigitte 🙂
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Poésie légère pour un soleil qui rit en alternance avec de tièdes pluies.
Dans les coulisses du théâtre de la vie, feuilles et fleurs se préparent à entrer en scène pour nous éblouir.
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On est tous assis au balcon, impatients que le rideau se lève !
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Patience, patience…
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Plus que quelques jours pour que les bourgeons éclatent. Quelle fête !
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très jolie poésie et belle photo…pas de lueur d’un lever de soleil ce matin….le temps est couvert et venteux…. Bonne journée à vous.
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Merci beaucoup Georges, ici aussi le matin est resté gris souris !
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Ce qui serait bien dommage, car le gel brûlant les bourgeons par le temps qui court reviendraient à dire que les fruits ne viendront jamais. Il s’agit de ralentir la course des saisons afin que l’hiver ne soit pas tenté de refluer son coup du boomerang.
Belle journée Christine
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Je crains que cela ne se soit produit dans la vallée du Rhône où les arbres étaient déjà eu fleurs au moment du dernier refroidissement. Entre le manque d’abeille, la canicule de 2017 et le gel tardif, les fruits risquent de se faire de plus en plus rares…
Belle journée à vous et merci beaucoup Jo !
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Très jolie poésie et très belle photo je reviens en arrière en effet on attendait avec impatience les bourgeons prêt à s’epanouir et avec ce drôle d’hiver , arrêt brusque on revient en arrière comme un tourne disque ancien et voilà la neige qui revient , mais maintenant l’espoir n’est plus loin encore quelques jours de patience j’espère
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Belle musique printanière ;o)
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Merci pour votre visite 🙂
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