25 réflexions sur “Haïku 174 : histoire d’eau

  1. Ça coule également avec la Meuse ! Merci Marie-Christine.

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  2. Dans leur multiple Panthéon, les païens avaient sans doute un dieu de la crue, lequel essaie de nous manger tout crus !

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    • Ce Dieu devait avoir des cheveux couleur d’algue et aimait s’étaler dans les prés pour dormir jusqu’à la fonte des neiges. En le voyant débarquer, les pauvres humains savaient qu’ils étaient cuits !

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      • Les Asiatiques sont habitués aux grosses crues (du Mékong, par exemple); ils ont appris à vivre avec l’eau qui monte parfois très haut en construisant sur pilotis et en vivant parfois sur l’eau; certains tirent même parti de la situation en vivant de maisons construites sur ou au bord du fleuve; à l’extérieur, au milieu de leur terrasse, ils ont sous celle-ci des sortes de cageots dans lesquels ils élèvent des poissons – au Cambodge ou en Thaïlande par ex – (souvent des poissons « chats » – on les appelle ainsi à cause de leurs moustaches; un jour, dans un bassin, il m’a pris de vouloir caresser une de ces moustaches…en fait ce sont de sévères piques défensives…mal m’en prit…cela a saigné abondamment…On est parfois candide devant la beauté de la Nature!…Et l’air « gentil » de ce gros poisson (très bon à manger…)

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        • Merci de ce témoignage de vos voyages et découvertes cher Patrick ! Je suis désolée de cette blessure, dans la Saône les poissons-chats sont légions et énormes, des requins d’eau douce dit-on, et leur faciès n’incite pas trop à la caresse… ils m’ont toujours effrayée !
          Les anciens construisaient plus loin des fleuves et en hauteur dans notre région mais les villes se sont rapprochées des rives et il faut désormais accepter d’avoir de l’eau dans sa cave ou dans les parkings souterrains.
          Merci à vous pour cette visite 😉

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  3. Le Gers est haut également, mais reste dans son lit. Heureusement pour nous qui sommes juste à côté !

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  4. J’adore cette photo de la Saône que je connais particulièrement du nord de Lyon jusqu’à Belleville sur Saône !!!! je pratiquais le footing sur ces chemins de halage magnifiques, et j’imagine tous ces boeufs attelés qui tiraient les bateaux avec de longues chaines reliant ces attelages aux bateaux chargés de ciment , de blé, de charbon , de bois etc …. Ce sont les mariniers que me racontaient cela , lorsqu’ils faisaient escales pour la nuit au pont métallique de Belleville sur Saône, souvent leur repas du soir étaient bien arrosés car c’était ce lien avec la terre qui les rapprochaient de la civilisation…..

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    • Merci Albert pour ce témoignage personnel, dimanche lorsque j’ai pris cette photo de nombreux coureurs parcouraient les bords de Saône (sur la route puisque les chemins de halages étaient sous les eaux..,). Vous avez bien reconnu le lieu, sur la rive opposée on peut distinguer en agrandissant la photo, « L’abbaye de Collonges » chère à Paul Bocuse.

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  5. Après toutes ces canicules récurrentes, les arbres doivent être heureux de pouvoir prolonger leurs bains de pied !

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  6. Il y à eu beaucoup d’eau sur ce mois de janvier….février sera certainement meilleur…Superbe la photo…Bonne journée à vous

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  7. Monique Andrisson

    Merci pour cette belle photo , désolé pour tout ces gens qui ont tout perdus , j,habite à 12km de paris mais à part le canal de l,ourc qui est assez loin et qui lui ne bouge pas , c,est une saison bizarre la terre crie qu’elle en à assez ,canicule ,inondations , vent violent en bord de mer , et ici par mal de pluie entre quelques rayons de soleil , c, est la nature qui se révolte

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