« Écrire, c’est donner une profondeur au silence. »
Joe Bousquet
…
….
Derniers instants
Avant
Que le jour
Ne se fonde
Dans sa nuit
……..
Heure où la lumière
Exulte
Flambant ses
Dernières secondes
Avant
De libérer
Les ténèbres
……..
Jeux de cache-cache
Combat de gris
De roses et de bleus
Ou chacun sait
Que le noir
Gagnera
……..
Strates claires-obscures
Rayures roses et or
Étincelles éphémères
Déclinent
A l’horizon
……….
Heure où
Le silence
Est d’or
Habité
De l’espoir
Secret
Que le ciel
Derrière son masque
Obscur
Ouvrira ses bras
De velours noir
Aux étoiles
Quand le ciel ferme ses rideaux (et l’objectif le sien), la nuit peut venir faire sa ronde sans bruit (« Non, ma fille, tu n’iras pas danser »)… 😉
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La nuit garde ses mystères, invisible sur les photos.
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la tendresse un peu triste de la beauté
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Merci beaucoup Brigitte. Le crépuscule appelle la nostalgie…
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Magnifique…
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Grand merci à vous Domi 🙂
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J’aime beaucoup cette heure grise ou la balance se fait entre jour et nuit. La nuit gagne toujours, mais pas pour longtemps. En fait, elle fuit continuellement devant le jour qui se lève un peu plus loin.
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Le combat quotidien entre jour et nuit n’est pas prêt de se terminer…
En fait, mais ne le dites à personne, ils sont amoureux l’un de l’autre depuis la nuit des temps mais ne se rencontrent que deux fois par jour durant quelques secondes et en restent frustrés éternellement…
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Je les imagine bien amoureux et secourant après/se fuyant, mais je n’aime pas trop l’idée d’une éternelle frustration 😦
mais où va la nuit quand vient le jour ?
j’avais bricolé un truc à propos :
https://carnetsparesseux.wordpress.com/2016/07/21/7737/
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Merci beaucoup pour le lien vers votre question à laquelle personne n’a répondu…
Comme vous, l’idée d’une éternelle frustration me déplaît, l’espoir d’une rencontre finale en forme de « happy end » apocalyptique me plairait davantage 🙂
Cependant, quand le jour se lève, la nuit étend ses ailes et s’envole à l’horizon pour faire le tour de la terre en rêvant de la lumière du jour. Elle se dépêche d’accomplir son périple dans le sens inverse de la rotation de la terre, en espérant arrêter le Temps pour se blottir dans Le Bras du jour juste avant qu’il ne disparaisse au crépuscule….
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J’aime – le poème – la photo –
16 septembre, grande fête nationale chez les Papous.
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Merci à vous Alex
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Le 16 septembre 1977 disparaissait Maria Callas. Son timbre de voix unique lui permet de jouer des opéras comme « Tosca » ou « Médée » #CeJourLà
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L’oiseau a fini par ouvrir la porte de sa cage…
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Très beau texte et superbe photo….bon week-end 🙂
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Grand merci Georges pour ces paroles si gentilles. Bon week-end à vous aussi 🙂
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Merci toujours très beau je prend du plaisir à vous lire
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Merci à vous Monique !
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