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Parfois je me demande où trouver encore un peu d’espoir dans ce monde.
Parfois seulement…
Alors je cherche
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Photo M.Christine Grimard
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Espoir dans le ciel et dans son créateur ?
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Photo M.Christine Grimard
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Espoir en l’ingéniosité des hommes ?
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Photo M. Christine Grimard
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Espoir en la lumière, force de la nature ?
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Photo M. Ch Grimard
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Espoir en la beauté du monde et la ronde des saisons?
Espoir que la Nature sache nous survivre ?
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Photo M.Christine Grimard
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Espoir que les animaux cessent de souffrir de notre présence ?
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Photo M.Ch. grimard
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Espoir que les êtres libres, gardent leur liberté ?
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Espoir que nos enfants vivent et fassent mieux que nous ?
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Il est vrai que parfois, on perd l’espoir. Heureusement, l’art et l’humour sont là pour nous aider !
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Oui il y a beaucoup de moyen de le retrouver, l’art en est un.
Je crois surout qu’il est en chacun de nous 😉
Belle journée à vous.
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sont bien beaux vos espoirs… surtout les conserver
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Oui employons-nous à conserver notre espoir intact, celui qui nous animait dans l’enfance, et à le partager entre nous…
Merci Brigitte de votre passage ce matin 🙂
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Les images sont aussi l’enfance (donc l’espoir) de l’art… Leur agencement relève du puzzle et de la pulsion ludique, ce qui anime le jour et la nuit.
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Oui c’est l’enfance de l’art que de ne jamais quitter son enfance pour garder l’envie d’avancer plus loin sur le chemin, en ayant encore envie de s’émerveiller de ce que l’on peut y découvrir.
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l’espoir est un enfant, ah, comme le temps d’héraclite…, j’ai un faible pour les gargouilles et les deux animaux blancs à quatre pattes un peu joueurs… ;-)))
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Ce graffiti trouvé à Lyon dans le quartier St Jean m’avais interpellée et je voulais le partager avec vous.
Je confirme les deux animaux poilus et blancs sont extrêmement joueurs, et cela les occupe à temps complet 😉
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Les trois vertus théologales sont la foi, l’espérance et la charité. Elles tirent leur origine de la fameuse trilogie paulinienne en 1 Co 13, 13 : « Maintenant donc, ces trois-là demeurent, la foi (pistis), l’espérance (elpis) et l’amour (agapè) mais l’amour est le plus grand. » Elles sont nommées théologales pour la raison qu’elles qualifient la relation de l’homme à Dieu.
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L’amour est bien le plus grand et englobe les deux autres vertus finalement, sans amour il n’y a ni foi ni espérance, finalement. Merci Alex pour ces précisions comme chaque jour et votre présence 🙂
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L’espoir fait vivre….magnifiques tes photos….bonne soirée et bon dimanche

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Grand merci Georges
Oui, vivons d’espoir !
Et de beautés partagées aussi 😉
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