L’abeille se fait rare dans les campagnes, à cause des insecticides, et commence à s’installer sur des balcons parisiens… Occasion de relire Maeterlink et son adorable livre piquant !
Auboncoin : J’offre volontiers (pour de vrai) les deux ruches surnuméraires et sauvages installées dans ma maison pour agrémenter votre balcon. Joie de l’apiculture à partager.
Merci de votre générosité, mais si elles se sont installées ainsi et apportent la joie et l’odeur du miel dans vos murs, il serait dommage de les en déloger !
Je n’ai pas la tenue adéquate pour m’en approcher, mais merci quand même 🙂
Merci pour l’évocation de cette œuvre (oubliée par moi), bien que je ne méfie des métaphores entre sociétés animales et humaines. Nous avons beaucoup de choses à apprendre des animaux et de leur goût pour la survie, ce dont nous sommes peu capables en comparaison.
Cependant, je n’envie pas vraiment un tel modèle de société à prédominance féminine, même si de nombreux régimes humains dénigrant la condition féminine sur notre planète, devraient en prendre de la graine…
A la campagne, les abeilles sont de moins en moins nombreuses, avec une espérance de vie très diminuée par les pesticides divers qui leur font perdre le chemin de leur ruche. On le remarque en ce moment en regardant les arbres fruitiers en fleur et désertés !
Époque des écoles de filles – classe de 6ème – le professeur de lettres, que nous admirions éperdument, nous lisait des passages de « La Vie des Abeilles », de Maurice Maeterlinck – avec quelques poèmes en plus.
Après, on a eu droit à « La Vie des Fourmis ».
Puis invitation à conclure, sorte de petit débat, dont je n’ai comme souvenance, que nous ne savions que dire.
@ Alex: Quelle chance d’avoir eu de tels professeurs !
Je viens de voir sur le lien de D.Hasselmann qu’il avait écrit aussi L’intelligence des fleurs …
J’ai beaucoup de retard de lectures !!!
Maeterlinck n’a pas écrit que des œuvres à succès mondialement connues comme Pelléas et Mélisande, ou l’Oiseau Bleu, mais aussi « L’Intelligence des Fleurs ».
@ MC Avec plaisir. Deux ruches en trop, une autre est située dans les combles et cohabitent avec les chauves-souris (protégées aussi). Je ne sais pas exactement pourquoi les abeilles s’évertuent à essaimer par ici mais ce n’est pas nouveau, cela dure depuis plus de 50 ans… Faut dire que c’est zéro pesticides par ici. Mais lire Maeterlinck au son des ruches rugissantes dans les cerisiers avec cette odeur dans le nez des miellées tièdes du printemps cela ajoute beaucoup à la lecture : c’est peut-être comme lire Homère sur l’île d’Ithaque? On rêve un peu d’intemporalité je pense. 😘
Sous les cerisiers en fleurs – c’est la fête hanami au Japon – dame abeille s’enivre de nectar – et moi de tout ce rose –
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Le temps des cerisiers en fleurs où l’on invente le goût des cerises à venir, et l’espoir d’un bel été !
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Cerisiers plaisir des yeux , au Japon pas de fruits
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Je pense à eux et à leurs souffrances, on est bien loin des dessins pleins de sérénité des cerisiers en fleur…
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L’abeille se fait rare dans les campagnes, à cause des insecticides, et commence à s’installer sur des balcons parisiens… Occasion de relire Maeterlink et son adorable livre piquant !
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Auboncoin : J’offre volontiers (pour de vrai) les deux ruches surnuméraires et sauvages installées dans ma maison pour agrémenter votre balcon. Joie de l’apiculture à partager.
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Merci de votre générosité, mais si elles se sont installées ainsi et apportent la joie et l’odeur du miel dans vos murs, il serait dommage de les en déloger !
Je n’ai pas la tenue adéquate pour m’en approcher, mais merci quand même 🙂
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Merci pour l’évocation de cette œuvre (oubliée par moi), bien que je ne méfie des métaphores entre sociétés animales et humaines. Nous avons beaucoup de choses à apprendre des animaux et de leur goût pour la survie, ce dont nous sommes peu capables en comparaison.
Cependant, je n’envie pas vraiment un tel modèle de société à prédominance féminine, même si de nombreux régimes humains dénigrant la condition féminine sur notre planète, devraient en prendre de la graine…
A la campagne, les abeilles sont de moins en moins nombreuses, avec une espérance de vie très diminuée par les pesticides divers qui leur font perdre le chemin de leur ruche. On le remarque en ce moment en regardant les arbres fruitiers en fleur et désertés !
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Maeterlinck est un lien à lui tout seul (merci de l’avoir réparé !)…
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@ Dominique Hasselmann : Merci de ce rappel et de votre lien bien que j’aie eu un peu de mal à le faire entrer dans la ruche 🙂
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très beau…bonne journée…bises
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Merci Georges et pour cet arbre, vivement qu’il soit en fleurs et couvert d’abeilles 🙂
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Époque des écoles de filles – classe de 6ème – le professeur de lettres, que nous admirions éperdument, nous lisait des passages de « La Vie des Abeilles », de Maurice Maeterlinck – avec quelques poèmes en plus.
Après, on a eu droit à « La Vie des Fourmis ».
Puis invitation à conclure, sorte de petit débat, dont je n’ai comme souvenance, que nous ne savions que dire.
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@ Alex: Quelle chance d’avoir eu de tels professeurs !
Je viens de voir sur le lien de D.Hasselmann qu’il avait écrit aussi L’intelligence des fleurs …
J’ai beaucoup de retard de lectures !!!
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Maeterlinck n’a pas écrit que des œuvres à succès mondialement connues comme Pelléas et Mélisande, ou l’Oiseau Bleu, mais aussi « L’Intelligence des Fleurs ».
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Merci !
Il faut que je le trouve 🙂
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@ MC Avec plaisir. Deux ruches en trop, une autre est située dans les combles et cohabitent avec les chauves-souris (protégées aussi). Je ne sais pas exactement pourquoi les abeilles s’évertuent à essaimer par ici mais ce n’est pas nouveau, cela dure depuis plus de 50 ans… Faut dire que c’est zéro pesticides par ici. Mais lire Maeterlinck au son des ruches rugissantes dans les cerisiers avec cette odeur dans le nez des miellées tièdes du printemps cela ajoute beaucoup à la lecture : c’est peut-être comme lire Homère sur l’île d’Ithaque? On rêve un peu d’intemporalité je pense. 😘
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C’est ainsi que l’on plonge vraiment dans le livre !
Mieux que la « réalité augmentée » 😉
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