Cheval court sur patte aux cheveux longs, d’une beauté saisissante quand le vent joue dans sa crinière.
Je l’aime beaucoup mais malheureusement ne l’ai pas vu récemment, et me demande un peu ce qu’il est devenu…
Le plus triste pour un beau cheval sauvage serait l’aliénation servile du manège perpétuel à touristes. Gageons qu’il soit sans contraintes et que son invisibilité apparente signe sa liberté d’aller là où bon lui semble.
@mariechristine Oui un marais salé (salant) celui du saulnier tout en bleu avec son grand râteau sur l’épaule et surtout pas un pré-salé qui est un terme inquiétant de boucherie culinaire géographique : une salaison en enfer pour le mouton gras. Les mots seraient parfois comme à l’usage du sel en cuisine : c’est une pincée pour relever le gout et à poignées pour la conserve en saumure. Tout est dans la juste mesure de l’emploi et chacun excelle plus ou moins dans sa spécialité régionale … La pharmacie fabrique même une recette du dentifrice au sel de Guérande si j’ai bien entendu la voix off de l’image hors champs du poney en vadrouille. On raconte qu’il ferait son tour des Gaules. : )
Promenades en Ailleurs (M.ChristineGrimard) 
Solitude d’un joli poney nordique…
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…Shetland…Islande…
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De quoi voyager en rêvant de chevauchées lointaines !
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Petit poney vendéen, aimant le vent et le sel…
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Court poème
Cheval court
Vert tendre
Ecume
Du Printemps.
🙂
Bon Lundi !
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Cheval court sur patte aux cheveux longs, d’une beauté saisissante quand le vent joue dans sa crinière.
Je l’aime beaucoup mais malheureusement ne l’ai pas vu récemment, et me demande un peu ce qu’il est devenu…
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Le plus triste pour un beau cheval sauvage serait l’aliénation servile du manège perpétuel à touristes. Gageons qu’il soit sans contraintes et que son invisibilité apparente signe sa liberté d’aller là où bon lui semble.
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Vous avez raison, mais celui -ci est libre comme le vent dans son marais salé !
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Belle photo reposante….Bonne semaine
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Merci beaucoup Georges et pour ce ciel splendide !
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@ mcgrimard : mon cheval égyptien approuve… 🙂
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Ils se comprendraient probablement sans nécessité d’interprète !
Les animaux sont moins compliqués que les hommes.
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Impatience et gourmandise de la nature à la sortie de l’hiver 😉
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L’herbe douce de printemps est si savoureuse à se mettre sous la dent, foi de poney !
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J’aurai tenté la rime « douce » au 1er vers
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Merci de votre visite !
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@mariechristine Oui un marais salé (salant) celui du saulnier tout en bleu avec son grand râteau sur l’épaule et surtout pas un pré-salé qui est un terme inquiétant de boucherie culinaire géographique : une salaison en enfer pour le mouton gras. Les mots seraient parfois comme à l’usage du sel en cuisine : c’est une pincée pour relever le gout et à poignées pour la conserve en saumure. Tout est dans la juste mesure de l’emploi et chacun excelle plus ou moins dans sa spécialité régionale … La pharmacie fabrique même une recette du dentifrice au sel de Guérande si j’ai bien entendu la voix off de l’image hors champs du poney en vadrouille. On raconte qu’il ferait son tour des Gaules. : )
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Merci de votre visite matinale et salée 🙂
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La notte du petit déjeuner est pour moi. 🙂
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Merci ! 🙂
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