« L’océan sonore
Palpite sous l’oeil
De la lune en deuil
Et palpite encore. »
Verlaine
—
Peu importe si la nuit tombe
Et que le vent m’emporte
Dans le tonnerre des vagues
J’attendrai immobile
Que le ressac arrive
Jusqu’à ce que j’entende
Palpiter le cœur des baleines
Et chanter les sirènes.
—
Sous la furie des flots, le calme des mots…
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Merci !
Sous le sable, le rêve…
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Est ce que j entends le chant des sirènes
Ou est ce le vent qui égrène
Sa mélopée au dessus des cimes
Cela serait moins rarissime
Mais aussi moins extraordinaire
Donc moins inimaginable
Laissons notre pensée
Nous entraîner
En nous permettant de rêver
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L’imagination rafraîchit l’été brûlant.
Il suffit de la laisser pour se retrouver assise au milieu de ses vagues…
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Faisons la part belle à l imaginaire
Notre vie sera plus ensoleillée
Dans les vagues revigorantes
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Tout à fait !
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Bonne journée que vos rêves deviennent réalité
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Merci et pour vous de même 🙂
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Vous êtes une vraie sirène, Chris! Bises
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Merci Patrick !
C’est un très beau compliment cela, des êtres en symbiose avec l’océan, tout ce qu’il me faudrait 🙂
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Baleines et sirènes se promènent dans le bleu des vagues – et chantent pour le poète leurs marines énigmes –
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Seul le poète et les humains qui aiment la mer peuvent les entendre.,.
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