« Aux hommes je leur dirai qu’il ont tort de croire que l’on cesse d’être amoureux lorsque l’on devient vieux
mais que l’on devient vieux lorsque nous cessons d’être amoureux. »
Pablo Neruda
- Peu importe où mènera cette vie si les surprises et les rencontres qu’elle m’a données ont été belles, et si au dernier soir de mon dernier hiver, tu es encore là pour serrer ma main contre ta joue.
- Sur les chemins de l’émotion, j’ai suivi le soleil, laissant mes pas errer de plaines en montagnes, d’orages en canicules, d’aurores embrumées en crépuscules sanglants; et au dernier matin j’ai retrouvé ta source et je m’y suis couchée pour attendre la nuit.
- Si tu laisses tes pensées s’accrocher aux miennes, et tes mains s’enrouler aux contours de mes doigts, si nos deux peaux s’accordent et que nos yeux se trouvent, alors au petit matin blême, le jour naissant recouvrira l’écheveau de nos âmes de nacre rose et de sang.
L’amour n’a pas d’âge (il se croit même éternel).
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Peu importent les jours et les heures
Quand on aime, on ne compte pas…
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« Toujours et jamais c’est aussi long l’un que l’autre » ELSA TRIOLET
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Sur l’échelle de l’Amour, le temps n’a pas de prise…
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L amour c est de vieillir ensemble l âge étant un noeud gordien Que la lame du trépas pourra seule casser
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L’Amour c’est vivre, évoluer et changer ensemble, accepter que le temps vous emporte et garder vos mains solidement arrimées dans les tempêtes, pour pouvoir se retrouver aussi de l’autre côté de la porte même si elle se referme et vous sépare quelques temps…
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les amours vrais, même disparus d’une façon ou d’une autre, ne se quittent jamais…ils se trompent seulement d’étage…
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Vous savez à quel point cette phrase m’est essentielle, merci de l’écrire de nouveau ici !
L’Amour infini est bien l’essentiel de ce qui nous anime
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Jolie formule…
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Très belle…
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quand
le verbe
« aimer »
prend
possession
de
vous
il n’est plus
possible
d’en conjuguer
d’autres
si
ce n’est
au subjonctif
qu’on sait
imparfait
(fait partie d’un recueil que je suis occupé à écrire…)…
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Oh un immense merci, cher Patrick, de nous faire la primeur de ce poème ici ! Quel beau cadeau !!
En effet c’est un verbe que l’on veut conjuguer à tous les temps et jusqu’au bout du temps, celui qui nous reste et celui que nous aurons à jamais après..,
Merci encore 🙂
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c’est bien ce que je voulais dire…c’est tout à fait ça…
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🙂
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Promenade en pays d’Amour… Tendresse ou passion, combien de lieux pittoresques !
Mais il y a aussi le désert de la Solitude, où errent des enfants, des jeunes et des vieux.
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Ce pays n’a pas de frontière ni de lois, il est ouvert à tous sans limites d’âge, de couleur ou de sexe. L’Amour y est roi, mais il prend le visage de celui qui le regarde et pour le reconnaître il suffit d’ouvrir son cœur. La solitude est seulement le déguisement qu’il prend lorsqu’il est endormi et que les nuits sont noires, mais il y a toujours un matin même aux nuits les plus sombres…
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Acceptons-en l’augure…
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Laissons-lui sa chance de nous montrer le chemin…
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