Photo du jour : La possibilité d’un rêve…

« C’est justement la possibilité de réaliser un rêve qui rend la vie intéressante. »
Paulo Coelho

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Est-il trop tard pour se poser cette question ?
La vie telle que je la tiens ressemble-t-elle au rêve que j’en avais ?
Avais-je un rêve ?

L’ai-je suivi ?

L’ai-je précédé ?

L’ai-je atteint ?
Me suis-je laissée porter par le destin ?

Me suis-je laissée guider par les circonstances ?
Ai-je suivi le mouvement ?

Ai-je choisi l’itinéraire ?

Ai-je suivi le bon chemin ?

Il n’est jamais trop tard pour retrouver ses priorités.

Tant que le film n’est pas fini, tout peut encore arriver.

« En Inde nous avons un dicton : à la fin de l’histoire, tout finit par s’arranger. Si tout n’est pas arrangé, c’est que ce n’est pas encore la fin. » Cette réplique du film « Indian Palace », au solide optimisme, mérite qu’on s’y arrête.

De quoi repartir avec une nouvelle énergie…

Et vous ?

23 réflexions sur “Photo du jour : La possibilité d’un rêve…

  1. C’est comme « la possibilité d’une île »… posséder une longue-vue !

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  2. mais avec pareille image, le rêve n’est pas seulement possible, il est là

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  3. Les points d’interrogations ressemblent à des crochets pour retenir les rêves. Quand ils deviennent points d’exclamation, le rêve est accompli.

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  4. l’ai-je précédé ? Question c’est vrai alors que si souvent on dit le suivre

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  5. Confiance au nuage porteur …

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  6. Paulo Coelho connait sa plume et la vie. Qu’on laisse les personnes qui ont un rêve le vivre. Les rêves des autres, ne sont pas intéressants à vivre. La sportive, je m’en fou. L’idiote du village, je m’en fou. L’imitatrice, je m’en fou. La voleuse, la tricheuse, la cachotière, veulent qu’on sache tout d’elles. On se penche pour faire lever et c’est la prison grandeur nature. La morveuse de quarante ans et plus qui se plaint pour vous et qui en tire la gloire et vous somme de vous taire n’est qu’une sorcière ratée devenue une mère ratée : ses plats sont brûlés, son lit est gelé, ses amis avec d’autres, son travail jamais fait, une fainéante qui a couru après une médaille en chocolat et qui vient vous dire votre vie c’est de la merde. Sa bouche sort des phrases, ça ne parle pas. Ses yeux disent des pensées, ça ne pense pas. Ses mains ne bougent pas, ça ne parle plus. Sa résidence est une pièce avec deux filles qui comme dans un feuilleton ont 5 ans et le lendemain 15. Sa cervelle devrait vous revenir c’est parait-il mieux écrit qu’un vrai recueil de poésie parce que copié-collé c’est Rimbaud et Hugo mêlé mais elle est tellement maladroite de les avoir apprises par coeur et ne pas écrire autre chose que ce texte, elle ne dit rien la fainéante, son ami la prend pour un génie. Elle a fait comme un jeune puceau qui cherche à sortir avec une fille belle et triste. Elle enrage, l’écume aux lèvres de déjà vieille femme ne plus savoir ce qu’est être présentable. Quelle robe, quelle chaussures, quelle coiffure, pour quel métier, pour quel rêve… faire rêver un patron, sa mère chevrotante, ses filles honteuses d’une usurpatrice en prenant les nouveautés et s’en servir pour devenir une nouvelle femme. Elle a insinuée, fait des crises de jalousies, insultée, moquée, humiliée, vomit, oubliée ce que c’était les mots qui sortaient de sa bouche pour les miens. Elle n’entend même plus ce qu’elle dit, elle est fini, elle va finir sa vie à masser des pieds pour rien. Elle n’a aucun rêve. Elle a volé les miens n’a pas su faire autrement en les imitant de les détruire, détruire, détruire, détruire, détruire. D’autres sont venus et l’ont pris pour modèle et ont fait pareil. Ils ont détruit. La réalité n’existe plus. Elle s’appelle Agnès, Gwen, Carine, et ces trois femmes sont les sorcières de Macbeth. Il parait que dans la vie tout est simple. On peut le tuer dans un livre. Dans la réalité, on les viole et on en fait des truies. Tout est vraiment simple , Françoise ? Tout le monde perd et l’intéressée face à quelqu’un d’intéressant, clame être innocente les mains pleines de sang, ses enregistrements grossiers, ses sourires perdus devant le juge pour enfants. Le procès devrait être : toutes les femmes sont folles, toutes les femmes sont encore à considérer comme des enfants et totalement inaptes. Leurs comparses, Christophe, Allain et Jean-Pierre, font mieux en tuant sans preuve pour que l’innocent se rendant coupable de les innocenter se suicide par une culpabilité qui leur appartient. Les sorcières et mages s’enfoncent dans la forêt des rêves bleus. Ils prennent des stupéfiants pour des rêves et font ce que leur dicte la cigarette, l’alcool et la datura. Dans le noir au milieu des arbres, de celle qu’ils ont brisé les rêves, ils font un totem et disent déesse. La déesse est morte, ils ne donnent vie qu’à des cauchemars et ce qui se manifeste est sans intérêt. La leçon de Paulo Coelho est belle et fausse, il a oublié les déçus, les indifférents, les cabossés qui écrivent la vie des destins brisés. Il a oublié ses lecteurs qui ont été ses personnages, qui grands n’ont cessé de grandir, de perdre la face par bonté.

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    • J’avoue avoir eu un peu de mal à vous suivre.
      Paulo n’oublie jamais ses lecteurs et il leur rend hommage dans ses ouvrages qui sont le reflet de la vie dans tous ces états. Ses personnages dont souvent attachants parce qu’ils sont vivants !

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  7. SIGISMOND. – Cela est vrai. Réprimons donc cette humeur farouche, cette fureur, cet esprit de domination, si jamais le rêve recommence ; et nous ferons ainsi, puisque nous sommes dans un monde si étrange que vivre ce n’est que rêver, et que l’expérience m’enseigne que l’homme qui vit rêve ce qu’il est, … Dans ce monde, en conclusion, chacun rêve ce qu’il est, sans que personne ne s’en rende compte. Moi, je rêve que je suis ici, chargé de ces fers, et j’ai rêvé que je me voyais dans une autre condition plus flatteuse. Qu’est-ce que la vie? – Une fureur. Qu’est-ce que la vie ? – Une illusion, une ombre, une fiction, et le plus grand bien est peu de chose, car toute la vie est un songe, et les songes mêmes ne sont que des songes.
    Pedro Calderon de la Barca – La Vie est un Songe –

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  8. Jeune, j’aimais prendre la barque des rêves et aller de nuage en nuage.

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  9. Cela ne va pas vous étonner que j’aime ce genre d’idées…! Qu’avons-nous fait de nos « rêves » de départ? Et parfois même…avions- nous la vraie possibilité d’avoir des rêves?! ;;en tout cas, on a tous les jours toute la vie devant soi et ça c’est indéniable comme prise de conscience …à faire partager…ce qu’on essaie de faire, n’est-ce pas Chris?

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    • Oui partageons nos rêves et laissons-les prendre pied dans notre réalité quotidienne, ils nous donneront l’énergie nécessaire pour poursuivre le chemin et entraîner les autres à notre suite.
      Merci de partager les miens aussi Patrick !

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  10. Qui n’a pas rêvé d être sur un nuage et ce d autant plus que c est un canot un rêve inaccessible qui devient réalité par cette photo merci

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  11. La vie n est pas faite pour être vécue, mais rêvée !
    Comme l avait si bien compris cette chère Alice qui aimait passer du temps à imaginer à quoi ressemblent les flammes des bougies après qu elles ont été soufflées…

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