Dans le mugissement des vagues il me semble entendre les voix des marins disparus en mer – la mort – la mer – pourquoi l’armor, l’armorique. L’Amérique, – des mots qui sont des mélopées emportées par le vent – à travers les océans – et qui peut-être font partie de la matière du vent –
Les quelques remparts que les hommes tentent d’opposer aux forces de la nature sont souvent dérisoires, et il faudrait que l’on admette enfin notre insignifiance.
Lorsque la conférence mondiale sur le réchauffement de la planète parle de le limiter à 2 degrés, c’est surréaliste, comme si la planète allait s’arrêter parce que nous l’avons décidé ! Simplement réduire notre impact sur notre environnement est indispensable et nous le savons tous, mais quand ceci est uniquement aux mains des politiques et des différents lobbies financiers ou idéologiques, on peut aisément craindre le pire. La nature choisira la voie qu’elle prendra et il nous restera à tenter de survivre. Nous avons joué avec le feu et nous noue étonnons cent ans trop tard, d’être brûlés. Nous avons induit nombre d’extinctions animales et nombre de catastrophes écologiques ou climatiques, je crains que la planète n’aie décidé de se débarrasser de nos nuisances.
C’est une des meilleures réponses, se souvenir que le cœur du monde bat aussi en nous…
Mais je crains que la bonne volonté de quelques uns ne suffise plus à nous sauver tous !
Au pied de ces barrières plantées pour stabiliser les dunes, dans ces étendues de sable balayées par le vent, des petites plantes apparaissent régulièrement. Quelques touffes de vie posées là, qui s’ancrent, survivent et s’étendent. Merveilleuse leçon que celle de cette vie qui s’implante dans les lieux les plus improbables !
La vie tente de s’accrocher mais année après année, l’océan détruit des efforts et emporte tout …
Les barrières tentent de regarder l’échéance mais ce n’est que très provisoire..,
ces barrières épousent le vent et le laissent passer sans lui demander ses papiers…
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Cinq minutes sur cette plage et l’on tombe amoureux de la liberté !
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Ces clôtures s’adressent peut-être aux esprits !
Il y en a tant qui vagabondent dans le vent…
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Des esprits libres amoureux de la mer et du vent, ceux de tous mes navigateurs disparus qui dansent avec ceux des mouettes d’antan…
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Dans le mugissement des vagues il me semble entendre les voix des marins disparus en mer – la mort – la mer – pourquoi l’armor, l’armorique. L’Amérique, – des mots qui sont des mélopées emportées par le vent – à travers les océans – et qui peut-être font partie de la matière du vent –
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Quelle magnifique image nous donnez-vous à voir et l’on entend cette mélopée de mots qui nous berce au rythme des vagues !
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Dune de sable
Vestige du temps
Forteresse des illusions perdues
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Merci de votre poésie posée au flanc de cette dune 🙂
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Il y a un abandon qui fait pousser un univers au-delà de son esprit.
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Sur cette plage l’esprit s’abandonne enfin et n’a plus aucune limite 😉
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force de la nature fait loi…on ne peut rien contre elle…on ne devrait faire que l’accompagner…
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Les quelques remparts que les hommes tentent d’opposer aux forces de la nature sont souvent dérisoires, et il faudrait que l’on admette enfin notre insignifiance.
Lorsque la conférence mondiale sur le réchauffement de la planète parle de le limiter à 2 degrés, c’est surréaliste, comme si la planète allait s’arrêter parce que nous l’avons décidé ! Simplement réduire notre impact sur notre environnement est indispensable et nous le savons tous, mais quand ceci est uniquement aux mains des politiques et des différents lobbies financiers ou idéologiques, on peut aisément craindre le pire. La nature choisira la voie qu’elle prendra et il nous restera à tenter de survivre. Nous avons joué avec le feu et nous noue étonnons cent ans trop tard, d’être brûlés. Nous avons induit nombre d’extinctions animales et nombre de catastrophes écologiques ou climatiques, je crains que la planète n’aie décidé de se débarrasser de nos nuisances.
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de la poésie comme barrage aux nuisances de l’homme
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C’est une des meilleures réponses, se souvenir que le cœur du monde bat aussi en nous…
Mais je crains que la bonne volonté de quelques uns ne suffise plus à nous sauver tous !
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piège a sable
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C’est ce que les hommes essayaient de faire mais l tempête a faiblement tout emporté avec la dune ellemême !
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Au pied de ces barrières plantées pour stabiliser les dunes, dans ces étendues de sable balayées par le vent, des petites plantes apparaissent régulièrement. Quelques touffes de vie posées là, qui s’ancrent, survivent et s’étendent. Merveilleuse leçon que celle de cette vie qui s’implante dans les lieux les plus improbables !
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La vie tente de s’accrocher mais année après année, l’océan détruit des efforts et emporte tout …
Les barrières tentent de regarder l’échéance mais ce n’est que très provisoire..,
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