12 réflexions sur “Haïku 62 : Vol au vent

  1. La chaleur commence à s’installer : on croirait presque avoir enfin quitté l’hiver ! Les rives du canal Saint-Martin sont devenues, le soir, un immense pique-nique à ciel ouvert. Ce qui tendrait à prouver la nécessité de l’eau (canaux, rivières ou fleuves) dans les villes.
    Le vent ne brasse pas d’air en ce moment…

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  2. Fleur éphémère
    Comme la vie sur terre
    Emportée par le vent

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  3. Patrick Devaux

    l’air (le vent), l’eau , le feu et la terre traduisent assez bien notre situation éphémère…le passage d’une chose à l’autre, aussi bien le typhon de certains moments de vie que la tiède douceur marine d’une journée de promenade sur l’estran

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    • Le vent nous porte et balaie notre ciel de ses sautes d’humeur, il chasse les nuages et emporte nos chagrins pour ne laisser que les reflets du soleil qui dansent sur l’estran.
      Merci d’être venu nous en parler ici ce matin cher Patrick !

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  4. un beau courant d’air (sourire)…merci

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  5. Tes aigrettes tourbillonnantes font la joie des enfants qui soufflent dessus – Pissenlit, le Taraxacum antique – devenu la Tarasque – le petit dragon du midi – parce qu’il dévore bien des maladies –

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    • J’aime toujours souffler sur la petite boule duveteuse et regarder s’envoler les étamines ailées…
      Mais je suis restée très enfant !
      La Tarasque est un de ces monstres qui sont moins effrayants que leur réputation, au bord du Rhône, j’ai toujours pensé qu’elle s’ennuyait et attendait que les humains viennent lui rendre visite. Un si beau pays, gorgé de soleil et à l’accent si doux, ne peut héberger des monstres …

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