La chaleur commence à s’installer : on croirait presque avoir enfin quitté l’hiver ! Les rives du canal Saint-Martin sont devenues, le soir, un immense pique-nique à ciel ouvert. Ce qui tendrait à prouver la nécessité de l’eau (canaux, rivières ou fleuves) dans les villes.
Le vent ne brasse pas d’air en ce moment…
Fleur délicate et légère qui essaime ses petits parapluies à tous les vents et qui me fascine année après année, depuis mon enfance, inexplicablement. J’imaginais que ces petites fusées partaient visiter tous les pays sur les vents et faisaient le tour du monde…
l’air (le vent), l’eau , le feu et la terre traduisent assez bien notre situation éphémère…le passage d’une chose à l’autre, aussi bien le typhon de certains moments de vie que la tiède douceur marine d’une journée de promenade sur l’estran
Le vent nous porte et balaie notre ciel de ses sautes d’humeur, il chasse les nuages et emporte nos chagrins pour ne laisser que les reflets du soleil qui dansent sur l’estran.
Merci d’être venu nous en parler ici ce matin cher Patrick !
Tes aigrettes tourbillonnantes font la joie des enfants qui soufflent dessus – Pissenlit, le Taraxacum antique – devenu la Tarasque – le petit dragon du midi – parce qu’il dévore bien des maladies –
J’aime toujours souffler sur la petite boule duveteuse et regarder s’envoler les étamines ailées…
Mais je suis restée très enfant !
La Tarasque est un de ces monstres qui sont moins effrayants que leur réputation, au bord du Rhône, j’ai toujours pensé qu’elle s’ennuyait et attendait que les humains viennent lui rendre visite. Un si beau pays, gorgé de soleil et à l’accent si doux, ne peut héberger des monstres …
La chaleur commence à s’installer : on croirait presque avoir enfin quitté l’hiver ! Les rives du canal Saint-Martin sont devenues, le soir, un immense pique-nique à ciel ouvert. Ce qui tendrait à prouver la nécessité de l’eau (canaux, rivières ou fleuves) dans les villes.
Le vent ne brasse pas d’air en ce moment…
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Merci pour votre témoignage ici, cette photo à été faite un jour où le vent du midi décoiffait les fées et les pissenlits !
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Fleur éphémère
Comme la vie sur terre
Emportée par le vent
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Fleur délicate et légère qui essaime ses petits parapluies à tous les vents et qui me fascine année après année, depuis mon enfance, inexplicablement. J’imaginais que ces petites fusées partaient visiter tous les pays sur les vents et faisaient le tour du monde…
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Oui libre comme l’air voyageant à travers l’espace mais qu il était amusant de souffler sur ces fleurs pour admirer ce nuage volant dans l’espace
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J’aimais beaucoup souffler sur cette boule légère, et j’aime encore !
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l’air (le vent), l’eau , le feu et la terre traduisent assez bien notre situation éphémère…le passage d’une chose à l’autre, aussi bien le typhon de certains moments de vie que la tiède douceur marine d’une journée de promenade sur l’estran
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Le vent nous porte et balaie notre ciel de ses sautes d’humeur, il chasse les nuages et emporte nos chagrins pour ne laisser que les reflets du soleil qui dansent sur l’estran.
Merci d’être venu nous en parler ici ce matin cher Patrick !
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un beau courant d’air (sourire)…merci
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Merci de votre passage ici ce matin, aussi délicat et apprécié que vos œuvres quotidiennes que j’admire !
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Tes aigrettes tourbillonnantes font la joie des enfants qui soufflent dessus – Pissenlit, le Taraxacum antique – devenu la Tarasque – le petit dragon du midi – parce qu’il dévore bien des maladies –
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J’aime toujours souffler sur la petite boule duveteuse et regarder s’envoler les étamines ailées…
Mais je suis restée très enfant !
La Tarasque est un de ces monstres qui sont moins effrayants que leur réputation, au bord du Rhône, j’ai toujours pensé qu’elle s’ennuyait et attendait que les humains viennent lui rendre visite. Un si beau pays, gorgé de soleil et à l’accent si doux, ne peut héberger des monstres …
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