et moi qui n’aime guère les aguets (leur trouve un air bête, sais pas pourquoi, vient de l’enfance) là je le trouve charmant et touchant
juste ce qu’il faut pour tintabuler discrètement en appui d’une fête (et rappeler que ce n’est pas fête mais hommage aux luttes)
Une fête du travail … Dans un monde où la « valeur » travail a tant perdu de sa valeur justement, c’est un des paradoxes de notre société et il ne reste qu’à en sourire…
« Forget me not »… « Ne m’oublie pas » en anglais… Attention en marchant dans les bois mouillés, à ne pas écraser cette petite merveille de la nature, si pure, si virginale, si timide…
Il faut bien mes chercher ces clochettes qui préfèrent se dissimuler dans l’ombre mousseuse des sous-bois. Mais lorsqu’on mes aperçoit c’est une merveilleuse récompense. Cependant, personnellement je ne les cueille jamais, pour qu’il y en ait plus l’année suivante…
À propos, les baies rouges qui seront leurs fruits, sont très toxiques !
Ce muguet annonce donc que votre blog refleurit (je le découvre par hasard, n’ayant pas reçu de « notification » bien qu’étant abonné…
Les vendeurs, hier, avaient l’air maussade, derrière leurs petits étalages aux entrées de métro, comme le temps : le 1er Mai n’attire plus les foules, sauf hors des villes pour ceux qui « font le pont » et s’en vont vers d’autres fêtes moins historiques.
Écouter les fleurs parler est le privilège des rêveurs et des artistes et la traduction qu’ils nous en font chasse la grisaille de notre quotidien.
Au pays des merveilles d’Alice, la chorale des clochettes tintinnabule sa joie de vivre.
Merci pour ce haïku, venant de chez Routid, je suis arrivée sur votre blog.
Mon muguet n’est pas fleuri dans mon jardin, cette année. J’en profiterai dans quelques jours.
Bonne journée à vous.
Merci à vous de ce passage sur mon blog, ce billet date de mai 2015 mais cette année, dans mon jardin il n’y a pas de clochette non plus comme vous le dit le billet du jour.
Merci à vous de vos mots déposés ici !
et moi qui n’aime guère les aguets (leur trouve un air bête, sais pas pourquoi, vient de l’enfance) là je le trouve charmant et touchant
juste ce qu’il faut pour tintabuler discrètement en appui d’une fête (et rappeler que ce n’est pas fête mais hommage aux luttes)
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Une fête du travail … Dans un monde où la « valeur » travail a tant perdu de sa valeur justement, c’est un des paradoxes de notre société et il ne reste qu’à en sourire…
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pardon ; pas les aguets, les muguets (et qui trouve belle la photo et beau le haïku)
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Merci beaucoup !
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Fleur de combat
Larmoyante sous la rosée
Synonyme de lutte ouvrière
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On charge les fleurs de tant de symboles qu’il ne fait pas s’étonner de les voir pencher de la clochette 😉
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Oui et même pleurer
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En effet, parfois il y aurait de quoi !
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Oui elles sont plus sensibles que les humains
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Elles paraissent plus fragiles que nous aussi mais j’espère pour elles qu’elles nous survivront … Je le crois aussi !
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Survivre à l homme ? il faudrait pour cela que l on change
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Muguet mouillé et retour de la poétesse 🙂
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Merci beaucoup 🙂
La pluie ajoute finalement une jolie touche de brillance !
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« Forget me not »… « Ne m’oublie pas » en anglais… Attention en marchant dans les bois mouillés, à ne pas écraser cette petite merveille de la nature, si pure, si virginale, si timide…
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Il faut bien mes chercher ces clochettes qui préfèrent se dissimuler dans l’ombre mousseuse des sous-bois. Mais lorsqu’on mes aperçoit c’est une merveilleuse récompense. Cependant, personnellement je ne les cueille jamais, pour qu’il y en ait plus l’année suivante…
À propos, les baies rouges qui seront leurs fruits, sont très toxiques !
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Ce muguet annonce donc que votre blog refleurit (je le découvre par hasard, n’ayant pas reçu de « notification » bien qu’étant abonné…
Les vendeurs, hier, avaient l’air maussade, derrière leurs petits étalages aux entrées de métro, comme le temps : le 1er Mai n’attire plus les foules, sauf hors des villes pour ceux qui « font le pont » et s’en vont vers d’autres fêtes moins historiques.
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Mon muguet est provincial, timide et sauvage , je ne suis pas sûre qu’il apprécierait les trottoirs de Paris.
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« Forget me not » est le nom du muguet, au royaume de l’aquarelle et d’Alice au pays des Merveilles.où il est admis de parler avec les fleurs.
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Écouter les fleurs parler est le privilège des rêveurs et des artistes et la traduction qu’ils nous en font chasse la grisaille de notre quotidien.
Au pays des merveilles d’Alice, la chorale des clochettes tintinnabule sa joie de vivre.
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A reblogué ceci sur Carnet de Recettes du Web.
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Merci pour ce haïku, venant de chez Routid, je suis arrivée sur votre blog.
Mon muguet n’est pas fleuri dans mon jardin, cette année. J’en profiterai dans quelques jours.
Bonne journée à vous.
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Merci à vous de ce passage sur mon blog, ce billet date de mai 2015 mais cette année, dans mon jardin il n’y a pas de clochette non plus comme vous le dit le billet du jour.
Merci à vous de vos mots déposés ici !
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[…] jour du premier Mai, j’ai lu le Haïku » Muguet mouillé », j’ai poursuivi mon chemin […]
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Merci à vous !
J’espère que le chemin vous a plu 🙂
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