Oui, la tulipe s’ouvre et se referme le soir…intelligentes les fleurs…! Connaissez-vous « l’intelligence des fleurs » de Maeterlinck? Il a une œuvre remarquable et poético-scientifique…J’aime tous ses (nombreux) livres…
Je crois effectivement que les fleurs ont une intelligence, même si elle est essentiellement tournée vers leur survie.
Merci de cette référence ! Je ne l’ai pas lu mais je vais chercher et m’y plonger. Merci de me cultiver ainsi cher Patrick, surtout quand on parle de culture de fleurs 😀
Ces fleurs urbaines au garde-à-vous le long des trottoirs, sont-elles heureuses dans la tourmente de la ville ?
Les miennes sont timides et sauvages, elles auraient peur de cette agitation, je crois …
J’aime les tulipes « poudreuses » et pastels, je m’aperçois que je n’ai planté que des bulles dans ces tons de couleurs et quelques unes plus rares réveillent l’ensemble, avec leurs pétales plus orangés.
Quand les petits matins d’avril sont encore frileux et givrés, on se demande si leur pâleur est naturelle ou saupoudrée de gel.
J’ai souvent imaginé le jardin comme une grand scène, où les fleurs seraient les musiciens de la fosse d’orchestre et les abeilles et autres volatiles, les membres du corps de ballet. Le vent étant le chef d’orchestre et entraînant tous les autres…
Mais j’ai trop d’imagination !
@ PatrickDevaux : dans la France de l’après-guerre, nous étudions au lycée l’Oiseau Bleu, de Maurice Maeterlinck. Le professeur, passionnée, essayait de nous faire comprendre des subtilités qui nous échappaient, mais que l’on arrivait à ressentir par osmose. Des moments forts.
Merci de nous faire partager cet immense poète.
Oui, la tulipe s’ouvre et se referme le soir…intelligentes les fleurs…! Connaissez-vous « l’intelligence des fleurs » de Maeterlinck? Il a une œuvre remarquable et poético-scientifique…J’aime tous ses (nombreux) livres…
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Je crois effectivement que les fleurs ont une intelligence, même si elle est essentiellement tournée vers leur survie.
Merci de cette référence ! Je ne l’ai pas lu mais je vais chercher et m’y plonger. Merci de me cultiver ainsi cher Patrick, surtout quand on parle de culture de fleurs 😀
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Jonquilles aux entrées de métro, prunus rose dans le jardin, les tulipes rue de Rivoli ?
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Ces fleurs urbaines au garde-à-vous le long des trottoirs, sont-elles heureuses dans la tourmente de la ville ?
Les miennes sont timides et sauvages, elles auraient peur de cette agitation, je crois …
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Toute la timidité de la tulipe
(lorsqu’elle n’est pas trop « fardée »)
est dans ce poème-image
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J’aime les tulipes « poudreuses » et pastels, je m’aperçois que je n’ai planté que des bulles dans ces tons de couleurs et quelques unes plus rares réveillent l’ensemble, avec leurs pétales plus orangés.
Quand les petits matins d’avril sont encore frileux et givrés, on se demande si leur pâleur est naturelle ou saupoudrée de gel.
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Les fleurs commencent leur entrée en scène dans les jardins, en attendant le ballet des papillons et des abeilles.
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J’ai souvent imaginé le jardin comme une grand scène, où les fleurs seraient les musiciens de la fosse d’orchestre et les abeilles et autres volatiles, les membres du corps de ballet. Le vent étant le chef d’orchestre et entraînant tous les autres…
Mais j’ai trop d’imagination !
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@ PatrickDevaux : dans la France de l’après-guerre, nous étudions au lycée l’Oiseau Bleu, de Maurice Maeterlinck. Le professeur, passionnée, essayait de nous faire comprendre des subtilités qui nous échappaient, mais que l’on arrivait à ressentir par osmose. Des moments forts.
Merci de nous faire partager cet immense poète.
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Merci pour vos souvenirs poétiques déposés ici, et ces dialogues qui m’enchantent 🙂
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