Merci pour le pèlerinage ! On en voit parfois aussi en France, incrustées dans les trottoirs de certaines villes (et déposées dans les assiettes de certains restaurants !) qui sont sur le chemin…
Ces coquilles dorées indiquaient aux pèlerins, l’emplacement des maisons d’accueil sur leur chemin, où ils peuvent faire « tamponner » leur passeport de pèlerin, prouvant la réalisation de leur périple.
Ce billet était le dernier de cette série, craignant de vous dégoûter de ce menu pourtant savoureux, je garderai mes autres souvenirs au fond demon coeur.
Merci d’avoir apprécié le menu du jour 🙂
Merci à vous !
Ceci est mon regard mais je souhaite à chacun d’aller poser le sien sur ces merveilles anciennes (en espérant qu’aucun fou ne viendra jamais détruite l’oeuvre des hommes qui les ont scultées !)
J’ai vu des coquilles au sol à Namur, notamment une devant l’Opéra, ce que j’ai trouvé étrange par rapport au lieu…Elles sont souvent sculptées de la même façon; elles évoquent l’accueil, l’ouverture comme le suggère la protection de l’animal de la nature
Le coquillage de la nature retourne au sable tôt au tard; les œuvres des hommes aussi surtout si on les saccage ce qu’on a hélas beaucoup fait mais il y aura toujours une Renaissance…enfin…on croise les doigts…car pour le moment ce n’est pas vraiment ça…
Lorsqu’elle ne sont pas saccagées, elles sont découpées à la tronçonneuse pour être vendues au marché noir et financer le terrorisme , ce n’est pas mieux. J’ai toujours une pensée pour l’artiste qui les a créées et pour sa mémoire que l’on efface ainsi !
@ Patrick Devaux : l’histoire, peut-être légendaire, raconte que la Renaissance de l’Europe serait partie de Santiago de Compostella, au Moyen Âge.
En France, bien des siècles après, elle a inspiré le Cid de Corneille.
Les archéologues pensent qu’il devait y avoir déjà un centre celtique religieux important pré-chrétien.
Merci beaucoup pour votre commentaire que me transmet Chris…Oui, la Renaissance est un grand moment…et plus avant…comment ne pas songer à Stonehenge, par exemple parmi les premières prises de Conscience…
J’apprecie beaucoup que deux beaux esprits comme les vôtres dialoguent ici de cette manière, j’ai l’impression de vous recevoir amicalement chez moi au coin du feu pour une soirée d’échanges poétiques 🙂
J’aime les coquilles Saint-Jacques, leurs délicates et tendres couleurs de toutes les nuances de rose, j’en ai décoré ma cuisine en Normandie, je ne me lasse pas de les regarder.
Elles ont un côté magique, chamanique, du fond des âges, porte-bonheur.
Cette décoration maritime doit donner un cachet tout particulier à la maison, en effet. Elles semblent mystérieuses en effet, si finement ouvragées avec leurs rainures symétriques et délicates. Ce sont de lointaines cousines puisque nous avons un ancêtre commun venu de cet océan primitif…
Suivez votre pulsion, Marie-Christine, continuez à nous parler, en votre façon poétique émouvante, de Santiago de Compostela, où vos lecteurs ne sont pas encore allés !
Merci à vous d’avoir apprécié mes déambulations dans cette cité envoûtante, je vous souhaite d’y porter vos pas à votre tour et d’en goûter l’ambiance très particulière mêlée de ferveur et de fraternité, dans une bulle hors du temps.
Merci pour le pèlerinage ! On en voit parfois aussi en France, incrustées dans les trottoirs de certaines villes (et déposées dans les assiettes de certains restaurants !) qui sont sur le chemin…
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Ces coquilles dorées indiquaient aux pèlerins, l’emplacement des maisons d’accueil sur leur chemin, où ils peuvent faire « tamponner » leur passeport de pèlerin, prouvant la réalisation de leur périple.
Ce billet était le dernier de cette série, craignant de vous dégoûter de ce menu pourtant savoureux, je garderai mes autres souvenirs au fond demon coeur.
Merci d’avoir apprécié le menu du jour 🙂
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@ mchristinegrimard : pourquoi, « dégoûter » ? Il est toujours agréable aussi de voyager sans avoir à se déplacer !
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Merci à vous !
Ceci est mon regard mais je souhaite à chacun d’aller poser le sien sur ces merveilles anciennes (en espérant qu’aucun fou ne viendra jamais détruite l’oeuvre des hommes qui les ont scultées !)
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J’ai vu des coquilles au sol à Namur, notamment une devant l’Opéra, ce que j’ai trouvé étrange par rapport au lieu…Elles sont souvent sculptées de la même façon; elles évoquent l’accueil, l’ouverture comme le suggère la protection de l’animal de la nature
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Il devait exister un lieu d’accueil sur le chemin de Compostelle à proximité…
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Le coquillage de la nature retourne au sable tôt au tard; les œuvres des hommes aussi surtout si on les saccage ce qu’on a hélas beaucoup fait mais il y aura toujours une Renaissance…enfin…on croise les doigts…car pour le moment ce n’est pas vraiment ça…
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Lorsqu’elle ne sont pas saccagées, elles sont découpées à la tronçonneuse pour être vendues au marché noir et financer le terrorisme , ce n’est pas mieux. J’ai toujours une pensée pour l’artiste qui les a créées et pour sa mémoire que l’on efface ainsi !
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@ Patrick Devaux : l’histoire, peut-être légendaire, raconte que la Renaissance de l’Europe serait partie de Santiago de Compostella, au Moyen Âge.
En France, bien des siècles après, elle a inspiré le Cid de Corneille.
Les archéologues pensent qu’il devait y avoir déjà un centre celtique religieux important pré-chrétien.
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Merci beaucoup pour votre commentaire que me transmet Chris…Oui, la Renaissance est un grand moment…et plus avant…comment ne pas songer à Stonehenge, par exemple parmi les premières prises de Conscience…
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J’apprecie beaucoup que deux beaux esprits comme les vôtres dialoguent ici de cette manière, j’ai l’impression de vous recevoir amicalement chez moi au coin du feu pour une soirée d’échanges poétiques 🙂
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J’aime les coquilles Saint-Jacques, leurs délicates et tendres couleurs de toutes les nuances de rose, j’en ai décoré ma cuisine en Normandie, je ne me lasse pas de les regarder.
Elles ont un côté magique, chamanique, du fond des âges, porte-bonheur.
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Cette décoration maritime doit donner un cachet tout particulier à la maison, en effet. Elles semblent mystérieuses en effet, si finement ouvragées avec leurs rainures symétriques et délicates. Ce sont de lointaines cousines puisque nous avons un ancêtre commun venu de cet océan primitif…
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@ MChristine : leur forme si parfaite m’intrigue.
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Leur ADN code pour une sculpture parfaite, c’est un magicien !
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Suivez votre pulsion, Marie-Christine, continuez à nous parler, en votre façon poétique émouvante, de Santiago de Compostela, où vos lecteurs ne sont pas encore allés !
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Merci à vous d’avoir apprécié mes déambulations dans cette cité envoûtante, je vous souhaite d’y porter vos pas à votre tour et d’en goûter l’ambiance très particulière mêlée de ferveur et de fraternité, dans une bulle hors du temps.
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@ MChristine : grâce à vous, nous avons découvert avec surprise une cité envoûtante.
Qui a réussi à échapper à la modernisation.
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