« Certains jours il ne faut pas craindre de nommer les choses impossibles à décrire »
René Char
*
En silence la vague glisse
Avec douceur elle déplisse
De l’estran les cicatrices
Ne laissant qu’un miroir lisse
D’une beauté sans artifice
Insatiable créatrice
Pour mon plus grand délice
*
Un délice éphémère
Qui comme la mer
Efface tout sur son passage
Faisant apparaître un paysage
Continuellement renouvelé
Mais tout en finesse et beauté
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Effectivement
Un plaisir toujours renouvelé
Un paysage que je passe des heures à contempler.
Merci pour ce poème !
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c’était un plaisir de continuer ton merveilleux poème
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Merci !!
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Les photos reproduisent ce calme qui aurait plu à Ulysse.
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Merci d’avoir trouvé comme placer cette rime que j’ai laissé en coulisses 🙂
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En regardant cette photo, je ressens un repos sublime m’envahir – une approche de la musique des sphères – la cité des dieux – reflet d’un autre monde –
Oubli instantané de la cité des hommes, constructive et destructive, qui veut me civiliser.
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Merci beaucoup de ressentir ce que je perçois moi-même sur cette plage, où notre condition humaine retrouve sa véritable dimension face à l’immensité de l’océan.
Un grand merci aussi pour votre visite !
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Magique estran toujours prêt pour se faire miroir du moment
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Ainsi que de l’âme des poètes…
C’est bien un lieu magique !
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Délicat et frais, on en redemande. 🙂
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Merci 🙂
Petite danse autour d’une rime, c’est un exercice délassant…
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