Bien que tu sois parti
Je sais que tu resteras là
Rien ne revient jamais en arrière.
Où est parti ton esprit
Le croiserai-je encore
Quand la nuit sera noire
Quand la vie sera finie ?
Où que tu sois perdu
Je sais que tu y es seul
Et le vide a rempli ton espace.
Où est partie ta vie
Est-ce encore une vie
Où est parti ton esprit
En reste-t-il une ombre ?
Bien que tu sois vivant
Je te sais déjà mort
Et le néant t’habille de brume.
Quel ange est assez noir
Pour laisser vivre les corps déjà morts
Et bloquer les âmes rebelles
Dans leur prison de sang et de feu
En leur coupant les ailes
En leur rognant le cœur
En leur crevant les yeux ?
such beautiful and amazing words:)
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Thank you so much 😉
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je relirai ce merveilleux texte tard dans la soirée, lorsque le silence et la nuit lui serviront d’écrin.. beautiful merci
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Merci beaucoup Bernard d’être passé et d’avoir apprécié ces mots, qui me sont particulièrement douloureux.
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Il faudrait inventer une gomme à faire revenir les traits…
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On devrait inventer des gommes à faire disparaître les désespoirs, et des lunettes à faire oublier les chagrins.
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