Cette journée fut longue…
Je vais me poser là,
Respirer un peu,
Laisser mes plumes
Briller
Au soleil…
Comment les humains appellent ils ça déjà ?
Une pause …
Alors, je me pose,
Pour une pause.
Le soleil était plus haut.
L’air était plus doux.
Depuis le matin
Où je suis parti,
De mon nid,
Le ciel n’a jamais été aussi bleu.
Au sommet du Grand frêne,
J’ai cru apercevoir,
Dans le soleil du matin,
Une belle oiselle
qui me ressemble.
Une Jolie demoiselle,
Douce et tendre,
Et mes ailes
En ont tremblé sous le vent.
Demain, quand le soleil
Éclairera le sommet des pins,
Je l’attendrai
Sur la plus haute branche,
Et, si elle se pose près de moi,
Nous partirons ensemble,
Pour le pays
Où les fées dansent
Dans les rayons de lune,
Et d’où les oiseaux heureux
Jamais ne reviennent.
Douce pause.
Douceur des mots.
Merci.
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Merci à vous d’être venue partager cette douceur avec moi !
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J’aimerai connaitre ce pays ou les oiseaux sont heureux et ne reviennent jamais ,très beaux poème ,j’adore cette douceur des mots cela nous emmène vers des pays inconnus pleins de rêves i
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Ce pays est juste là au fond de vos rêves …
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texte en mode » gentillesse et douceur »; la photo suggérant le bel équilibre…
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Merci beaucoup Patrick. Cet oiseau songeur sur son gros galet rond et lisse m’a suggéré ces pensées douces … Merci de les avoir comprises !
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